28 octobre 2012 : journée en mer

Vers 7h30 du matin, nous sommes passé près du Stromboli. 2 heures après, passage du détroit de Messine. D'un côté était visible Messine côté Sicile et de l'autre la Calabre côté Italie.

29 octobre 2012 : 2ème journée en mer

Passage près d'îles grecques + détroit des Dardenelles en soirée.

ISTANBUL

Jeudi 31 octobre 2012

Temps d’escale : 8h – 17 h avec un tous à bord à 16h30

Température estimé : 17°C Minimum – 21°C Maximum

Météo : Soleil avec possibilité de nuages

Carte de notre parcours entièrement à pied :

Tout d’abord, je tiens à vous dire que dans ce compte-rendu de cette escale à Istanbul, il y aura moins de photos que d’habitude pour illustrer notre parcours car nous avons eu malheureusement un souci de carte mémoire. Et malheureusement, bon nombre de nos photos n’ont pu être récupéré.

Ce matin là, je me suis levée tôt. Pendant que Monsieur et Mademoiselle dormaient à points fermés, je me suis glissée hors de la chambre à pas de loup pour monter sur les ponts extérieurs afin d’assister à l’arrivée à Istanbul.

Derrière nous, un bateau Costa nous suivait à toute allure. Le jour s’est levé progressivement à partir de 6 :30 et le brouillard s’est dissipé peu à peu laissant découvrir peu à peu des grands ilots de terre sur notre droite puis devant, une terre vallonnée à commencer à se découvrir. Ca et là, nous avons commencé à passé devant des bateaux de pêche. Peu à peu, sur ces collines, apparurent minarets et autres bâtiments sans autant distinguer de quel monument il s’agissait.

En se rapprochant, les minarets de la Mosquée bleue se détachèrent du paysage en premier lieu, suivi par le Palais Topkapi et ses murailles. Saint-Sophie, située entre les deux premiers bâtiments a dévoilé ses contours par la suite. Le bateau a légèrement tourné vers sa droite pour continuer sa route vers le port. Sur la droite, nous pouvions apercevoir la Tour Léandre.

Vers 7h30, le bateau a commencé à faire ses manœuvres pour accoster. Il était temps d’aller lever son petit monde pour aller déjeuner et descendre du bateau.

Le bateau a amarré au niveau du port situé en face de la tour de Galata.

Pour sortir du port, il faut soit sortir par le bâtiment prévu à cet effet (Photo 3 : le bâtiment le plus petit et le plus proche de l’eau) dans lequel se trouve une petite boutique plus cher qu’en ville, soit prendre la petite rue juste avant ce bâtiment.

En sortant de la zone portuaire, vous arrivez sur une rue. De ce coté du bâtiment portuaire, il y a un point d’information touristique mais il était fermé à l’heure où nous avons débarqué. Sur le trottoir, des taxis vous proposent leur service et il y a également des publicitaires pour les bus impériaux touristiques.

Lorsque vous arrivez sur la rue débouchant de la zone portuaire, vous pouvez prendre l’une des petites rues en face de vous pour rejoindre l’avenue ou passe le tramway.

Pour notre part, comme nous n’étions qu’à quelques pas du pont de Galata Köprüsü, à la sortie du port, nous avons remonté la rue vers la droite en direction du pont que certains guides touristiques conseillent de faire à pied pour son ambiance particulière et pour profiter de la vue sur la mer de Marmara d’un côté et sur la Corne d’or de l’autre.

Au bout de cette rue, nous avons enchainé toujours en allant tout droit dans une petite ruelle commerçante. En même pas 5 minutes, nous étions au pied du pont sur une petite place. Sur cette place, se dresse 3 ou 4 guichets automatiques que l’on ne peut absolument pas manquer tellement ils sont colorés.

Lorsque notre regard se détache enfin du paysage un peu surréaliste compte tenu que dans notre vie quotidienne nous ne sommes pas habitués à ce genre de paysage, notre vision se porte ensuite sur le pont. Et là, je n’ai jamais vu autant de pêcheurs accolés les uns aux autres. Les piétons ont le choix pour passer sur ce pont, soit au dessus à proximité des pêcheurs, soit en dessous ou l’on trouve plein de petits restaurants aux décors plus ou moins insolites.

Pour l’heure, nous sommes passés sur le pont supérieur où passe le tramway afin d’observer la vue et ses pêcheurs. Nous repasserons au retour par le bas.

Au bout du pont, nous avons tourné sur la gauche en longeant l’esplanade le long du quai. Nous rencontrerons les premiers marchands ambulants de nourritures.

Nous poursuivons donc notre chemin en longeant la berge ou il y a pleins d’embarquements pour rejoindre les autres rives ou pour une balade sur le Bosphore. Sur notre droite, il y a une grande avenue sur laquelle le tramway poursuit son chemin.

Nous décidons de suivre tranquillement l’avenue que nous traverserons un peu plus loin afin de prendre une nouvelle avenue en face dont le tramway empruntera la route également.

Nous nous éloignons maintenant de la rive pour entrer dans une zone urbaine. Sur notre gauche, nous passons devant la gare où une vieille locomotive est esposé. La gare de Sirkeci était le lieu d'arrivée de l’orient express, nous y jetons un coup d’œil rapide.

Nous dépassons la gare et continuons notre chemin avec toujours à notre droite le tramway.

Tout de suite, nous avons le choix de poursuivre le long du tramway ou de couper un peu le trajet en empruntant un escalier qui passe entre des immeubles.

Nous décidons d’emprunter l’escalier. Nous tomberons sur des petits commerçants et restaurants plus typiques que touristiques.

Nous retombons sur la ligne de tramway que nous suivrons jusqu’aux remparts du quartier de Sultanahmet, le quartier des principaux monuments. Sur ce chemin, nous croiserons restaurants et marchands typiques.

Après avoir dépassé la station de tramway Gulhane, sur notre gauche, notre intérêt se porte sur une route montant en direction du Palais Topkapi. Il n’y a pas d’indication en ce sens, uniquement une indications pour rejoindre un parc ainsi que le musée de l’archéologie. Nous empruntons la rue de pavés qui grimpe assez en direction du musée émaillé (cinili kosk muzesi sur la carte) et le musée de l’architecture (arkeoloji muzesi). Après avoir dépassé le musée de l’archéologie, nous continuons à grimper. Sur le côté, il y a des restes de monuments et de statues posés avec la mention ne pas toucher. Nous croisons des militaires armés et nous nous demandons si nous pouvons continuer sur ce chemin. On peut effectivement continuer. Nous passons sous une arche et arrivons sur un très grand espace fait de petits chemins et de verdure.

Sur la droite, c’est le chemin à suivre pour se rendre à Sainte Sophie (Ayasofya Muzesi).

Sur la gauche, on aperçoit le Palais Topkapi. Nous décidons de nous diriger vers celui-ci, les guides conseillant de privilégier le Palais à Ste Sophie si nous n’avons pas beaucoup de temps sur place.

L’entrée se situe entre les deux tourelles. Pour y accéder, il faut d’abord acheter des billets dans des baraqements près des remparts sur la droite du Palais en regardant ce dernier. Nous faisons la queue. Il y a une seule caisse pour payer en carte bleue (vers le milieu). Le billet adulte est à 25 TL et, sur présentation d’une pièce d’identité pour vérifier son âge, c’était gratuit pour notre fille.

Juste après la caisse, il y a des personnes en costume qui vous proposent de vous faire photographier pour quelques TL.

Ensuite, Direction les tourelles pour entrer dans le Palais.

La visite du Palais de Tokapi est superbe. Une partie du Palais était malheureusement en travaux lors de notre venue.

Lorsque l'on passe les tourelles pour pénétrer dans l'enceinte du Palais, vous avez sur la droite la possibilité de louer des audiophones.

Après vous n'avez plus qu'à vagabonder de jardin en terrasse et de salle en salle.

Sur certaines terrasses, vous avez une vue magnifique sur le bosphore ou Istanbul. Les salles sont décorées par thématiques (bibliothèque, salle de repos..) et certaines abritent des minis musées également à thème (salle d'armes, vêtements, bijoux, horlogerie, tableau...) ou il est parfois interdit de photopgraphier.

Il y a un restaurant également dans l'enceinte donnant sur le bosphore en contrebas.

Beaucoup de jeunes chats se baladent dans les jardins.

Nous avons mis au moins 2 heures pour passer de salle en salle tranquillement, il n'y avait pas grande foule jusque là.

Vers 11 heures, nous avons pris le chemin de la sortie. C'était l'heure ou les groupes MSC et Costa arrivaient au Palais pour le visiter.

La sortie se fait par les tourelles par lesquelles nous avions pénétrés dans le Palais.

En sortant, il y a une petite boutique de souvenirs.

En sortant du Palais, nous nous sommes retrouvés de nouveau sur le grand parc par lequel nous étions arrivés.

Le Palais Tokapi dans le dos, nous avons traversé le parc droit devant nous en nous laissant porté par la foule en direction d'une grande muraille.

Au bout de 500/800 mètres, nous sommes passés sous une arche qui menait vers la route ou arrivaient tous les cars MSC/Costa. Sur la gauche, nous avons la mer et les cars, et sur la droite, l'arrière d'un monument (l'arrière de Ste Sophie ???).

Nous avons longé le trottoir pendant encore 300/500 mètres. NOus avons commencé à apercevoir sur la droite une nouvelle esplanade ou la foule se dirigeait.

Naturellement, nous avons suivi (pourquoi faire plus compliqué ). Sur la droite, il y avait l'entrée pour Ste Sophie (Ayasofya). Il y avait un monde atroce. Il n'était même pas envisageable de faire la queue pour aller visiter en se disant qu'il fallait patienter un peu. L'entrée nous a paru très austère mais d'autres croisiéristes ont aimé la visite. Ce n'est pas grave, en escale, nous partons du principe qu'on reviendra une autre fois pour visiter. Après tout, c'est des vacances pas un marathon !!!

Nous poursuivons notre chemin, Ste Sophie dans notre dos.

En face de nous, nous apercevons la mosquée bleue après quelques espaces de jardin ou se mèle tousites de tout horizon et population locale.

Sur notre gauche, un mur porte plusieurs horloges dont une à l'heure de Paris (sauf que le changement d'heure n'avait pas été pris en compte ce qui a perturbé plusieurs croisiéristes qui ont paniqué en regardant leur montre : Mais à quelle heure devons-nous réellement à bord ).

Nous nous dirigeons vers l'entrée de la Mosquée bleue, mosquée qui est réputée pour être la plus belle d'Istanbul.

Les fidèles rentrent dans la Mosquée via un grand escalier.

Des grands panneaux à l'attention des touristes nous expliquent la tenue adéquate pour pénétrer dans la Mosquée (jambes et bras couverts + tête couverte - paréo ou foulard- en plus pour les dames) et nous oriente vers la cour à droite de l'escalier.

On passe par un petit porche pour arriver sur une place extérieure. Il faut traverser tout droit cette place et repasser un autre petit porche. L'entrée des touristes, moins majestueuse, est à gauche.

Nous avons juste le temps de jeter

rapide car la Mosquée se ferme aux touristes le temps de la prière.

Pour repartir, nous revenons sur la courette intérieur. De là, la Mosquée derrière nous, nous prenons la troisième sortie ou entrée.

Nous débouchons sur une longue esplanade qui va de la Mosquée Bleue à Ste Sophie.

Il s'agit de l'ancien hippodrome de Constantinople ou se dresse trois colonnes historiques.

En direction de Ste Sophie (à droite), il y a l'entrée de la citerne Basilique (autre côté du trotoir par rapport à Ste Sophie) que

et on aperçoit la ligne de tramway au loin. A noter qu'en longeant la ligne de tramway, un peu avant Ste Sophie, on retourne au bateau et en allant tout droit en étant dos à Ste Sophie, on prend la direction du Grand Bazar.

Nous longeons l'hippodrome vers la gauche.

En face de l'hippodrome, de l'autre côté de la rue, il y a un batiment.

Nous prendrons la route à sa droite pour descendre en direction de la petite Ste Sophie que conseillait le guide du routard.

La route descend vraiment, les trottoirs sont étroits et pas forcément larges. Compte-tenu du dénivelé, le trottoir comporte souvent des marches. On s'enfonce dans un côté moins touristique d'Istanbul, moins fastueux. Les gens ont tendance à nous regarder car il y a très peu de touristes qui empruntent ce chemin.

Après quelques ruelles, nous arrivons dans une rue en impasse qui semble être la bonne. Au fond, il y a une sorte de batisse qui se révelera être la

que la végétation cache un peu et avec en fond d'horizon, la mer.

Nous prenons la route. Un marchand fumant une cigarette nous interpelle en anglais, puis en français pour nous inviter à entrer dans sa boutique. Nous déclinons son invitation et allons visité la petite Ste Sophie. Un petit bijou de quiétude cette mosquée, reposant à souhait ou les oiseaux donnent un concerto agréable.

Nous quittons donc la petite Ste Sophie et remontons la rue par laquelle nous étions arrivés.

Nous tournons à gauche afin de nous diriger à vu de nez en direction du Grand Bazar.

La rue a des trottoirs sont très étroits par endroits (une poussette ne passe pas) et il faut parfois marcher sur la route car certains commerçants exposent des babioles locales sur le peu de trottoir. On se méfie car les véhicules circulent à toute allure et vous rase de très près à cet endroit.

La rue remonte de plus en plus fortement et birfuque vers la droite. L'axe routier devient plus large également et les trottoirs également.

Les bâtiments sont modestes et parfois délabrés.

Nous croiserons des femmes en train d'étendre leur linge sur des tours à linges de fabrication maison posés à même le trottoir, les véhicules passant à côté soulevant la poussière.

La montée devient assez raide et des marches apparaissent sur le trottoir par paliers.

Après avoir consulter notre GPS, nous bifurquons sur une route à gauche.

La montée est encore plus raide et notre fille peine un peu.

Nous entrons dans une zone artisanale à priori.

Il n'y a que des hommes à proximité et on nous regarde un peu comme des bêtes curieuses. La rue est exclusivement consacrée au monde de la chaussure. On aperçoit devant certaines boutiques des centaines de semelles posées en une sorte de montagne. Pour d'autres, des hommes s'attachent à créer des chaussures.

Nous tournons vers la droite.

Cette nouvelle rue artisanale est dédiée quant à elle au monde des boutons. On peut les acheter à la pièce ou en gros par grands sacs. C'est impressionnant de voir ces immenses sacs transparents remplis de centaines de boutons multicolores.

Au bout de cette rue, après quelques commerces un peu plus traditionnel, nous retombons sur la ligne de tramway.

De l'autre côté de la rue, il y a un change ou nous échangeons des euros et juste en face, si l'on traverse, la rue nous emmènera jusqu'au Grand Bazar.

Des vendeurs vous alpaguent en français ou en anglais pour essayer de vous attirer dans leur boutique.

Nous pénétrons dans les entrailles du Grand Bazar.

On découvre un monde à part entier. PLus de 4000 commerçants dans un véritable labyrinthe. Il vaut mieux avoir un bon sens de l'orientation.

Les plafonds sont magnifiques.

Les étals proposent de l'artisanat local, des tapis, de la joaillerie etc....Il ne faut pas hésitez à marchander le prix mais nous avons été étonné que 4-5 étals affichaient leur prix comme en Europe et ou il était impossible de négocier. Généralement, le prix était correct.

Pour ne pas se perdre, nous sommes restés pratiquement dans le rectangle central en avancant allée par allée jusqu'à ce que nous atteignons le côté opposé au côté par lequel nous étions rentré, toujours en direction du bateau.

Nous avons déambulé en direction du bateau afin de rejoindre le bazar égyptien.

Le chemin plus cossu que précédemment proposait des boutiques pour touristes ou pour la population locale.

La balade était agréable et nous avons apprécié les vendeurs de grenadine et autres spécialités locales que nous avons goutés au passage.

Plus petit que le Grand Bazar, le bazar égyptien était beaucoup plus pitoresque.

Les odeurs des épices envahissaient les narines et la multidue de coloris était un régal pour les yeux. J'ai hâte d'y retourner en octobre prochain. Notre fille était ravie car elle a fait le plein de petits bracelets. Les vendeurs étaient serviables et gentils à Istanbul, pas du tout agressifs. On peut regarder sans pour autant être harcélés comme au Maroc ou en Tunisie.

En sortant du bazar égyptien, d'autres commerces sont attenants et mènent à la place ou se dresse la Mosquée Neuve, juste devant le pont de Galatasaray (le pont que nous avions traversés au départ). On découvre que la sansue est le médicament miracle pour pas mal de petits tracas médicaux. Nos yeux sont également attirés par les bocheries et les marchands de fromage.

La place devant la Mosquée neuve est pleine de monde pourtant, elle est gigantesque cette place.

On s'installe sur les marches de la Mosquée le temps que notre fille termine sa glace.

Et, là on prend le temps de regarder le paysage avec la mer en toile de fond d'un côté, et côté terre, une architecture différente de ce que l'on a l'habitude de voir étalée à perte de vue sur des collines.

On observe les piétons qui vont dans tous les sens, menant un ballet entre l'Orient et l'Occident dans une parfaite harmonie.

Pour rejoindre le pont de Galatasaray que nous devons retraversé pour regagner la berge ou le bateau est amarré, nous devons traversé un très grand axe routier.

Pour traverser, nous avons emprunté un passage sous-terrain comme les habitants, les touristes préférant en grande majorité attendre l'arrêt des véhicules au passage piéton.

Dans le ce sous-terrain règne une ambiance incroyable entre les cris des vendeurs, la musique, les jouets en forme d'oiseaux qui volent... Un hymne à la vie, une ambiance que même la vidéo n'a pas réussi à reproduire.

De l'autre côté du sous-terrain, nous sommes tombés sur le début du pont de Galtasaray.

A ses pieds, un petit restaurant. Les cuisiniers faisaient le show sur le bateau et donnaient de manière peu conventionnelle les commandes aux serveurs qui étaient sur le quai comme les clients.

Pour traverser le pont, nous étions passé le matin même au dessus du pont ou nous avions été impressionné par le nombre de pêcheurs.

Et la, nous nous sommes aperçus qu'il y avait une vie en dessous également.

Le pont est à double niveau et propose en son sein une multitude de restaurants de poissons principalement (Cela va avec les pêcheurs ).

On avance donc et nous découvrons des restaurants de tout style, traditionnel ou tellement actuel qu'on pourrait croire qu'une certaine Valérie D....dot est passé par là. Les cuisiniers cuisinent du poisson sur de grandes planchas. Côté mer, notre vision est obstruée par des dizaines de fils provenant des cannes à pêche des pêcheurs de l'étage supérieur. Par endroit, certains fils se lèvent et des poissons remontent. Il n'y a pas plus frais, poisson pêché, poisson aussitôt cuisiné et mangé

A la fin du pont, nous ne reprenons pas de suite la direction du bateau (sur la gauche).

Nous tournons à droite en direction d'un marché de poissons. C'est toujours intéressant de voir les especes pêchées du coin.

Ensuite, nous reprendrons la directionde la gare maritime. Des croisiéristes prenent d'assault le petit magasin qui s'y trouvent.

Nous remontons à bord.

A l'heure prévue du départ, nous sommes montés sur les ponts extérieurs afin d'assister au départ du bateau.

Le bateau n'est pas parti comme prévu.

La nuit est tombée progressivement et avec elle, Istanbul s'est peu à peu transformé sous nos yeux.

Les édifices se sont allumés peu à peu. Les bateaux traversant le bosphore firent de même. Un spectacle à couper le souffle ou on ne sait ou regarder, le tout

.

Lorsque le bateau est parti, nous sommes passés sous un premier pont et comme à Lisbonne, on se laisse prendre à croire que le bateau va s'encastrer dans le pont mais non. L'illusion optique est pourtant là et on retient sa respiration jusqu'à ce que le bateau soit passé.

Les manoeuvres pour faire demi-tour étaient impressionnantes.

Au revoir Istanbul, à octobre prochain avec le Magnifica cette fois-ci.